Projet de Memoire

 

 

Non disponible

 

 

DORCE Charly est né à Dame Marie le 13 juin 1987 dans une famille protestante, son père, Hitler Dorcé, est le pasteur responsable de l'Eglise Lutherienne de l'Anse d'hainault. Sa mère, Marleine Accus est originaire de Bariadelle. Charly a fait ses études primaires chez les frères Saint Joseph de l'Anse d'hainault et ses études secondaires au lycée Bernard Pierre-Louis, puis au lycée Nord Alexis de Jérémie. Détenteur du DELF b2 (Diplôme d'étude en langue française). Mémorant en Sciences de l'Education, Charly est tour à tour animateur, poète, professeur de français, évangéliste... Charly est l'auteur d'un livret de dissertation, rédacteur de la sapiensmagazine. Contactez Charly à ce numéro (509) 3674 1229 ou à l'adresse suivant dorcecharly@yahoo.fr

DORCE Charly est né à Dame Marie le 13 juin 1987 dans une famille protestante, son père, Hitler Dorcé, est le pasteur responsable de l'Eglise Lutherienne de l'Anse d'hainault. Sa mère, Marleine Accus est originaire de Bariadelle. Charly a fait ses études primaires chez les frères Saint Joseph de l'Anse d'hainault et ses études secondaires au lycée Bernard Pierre-Louis, puis au lycée Nord Alexis de Jérémie. Détenteur du DELF b2 (Diplôme d'étude en langue française). Mémorant en Sciences de l'Education, Charly est tour à tour animateur, poète, professeur de français, évangéliste... Il est l'auteur d'un livret de dissertation, rédacteur de la sapiensmagazine. Contactez Charly à ce numéro (509) 3674 1229 ou à l'adresse suivant dorcecharly@yahoo.fr

 

 

La société des Acteurs

 

Tél. :  (509) 3674 - 1229  (509) 3849 - 8874

sapiensclub@yahoo.fr

dorcecharly@yahoo.fr

Anse-d’Hainault

Luttons pour le progrès et l’épanouissement de la Jeunesse haïtienne.

SAPIENS CLUB (Société des Acteurs pour la Promotion, l'Innovation et l'Encadrement des Nécessités Sociales) est l'initiative d'un groupe de jeune qui voulais le progrès d'haïti. Les membres fondateurs sont: Darly Jean Baptiste, Espérance Lumernaude, Witly Alexis, Roméo B, Elizaire D, Acsa Bernard... Actuellement nous sommes déjà aux Cayes et à l'Anse d'hainault. Nous poursuivons toujours nos rèves les plus chers : unificationde la jeunesse haïtienne. Prochainement vous trouverez des formulaires disponibles pour l'inscription. 3674 1229 numéro de référence.

 Winchel CHERISME, l'un des rédacteurs de la SAPIENS magazine, opte pour une restructuration solide de la Sapiens. De meme que Aunald son savoir-faire laisse encore aux abornés un souvenir agréable.

 

SAPIENS CLUB

VIN PRAN NOT

 

Jeunes ! SAPIENS Club vous invite à son magique jeu de correspondance baptisé : « Salon des Acteurs » et ayant comme slogan « écrire, c’est parler »

Ce jeu regroupera les jeunes de la commune de l’Anse-d’Hainault et ses sections communales. La clôture se fera lors de la remise des certificats au bénéficiaire de la Formation organisée par le club. Et le lendemain, nous prendrons tous une journée de mer.

Informations personnelles

 

Nom : ………………………………  Prénom :…………………………

Tél. :…………………………….       Adresse :…………………………

Niveau d’étude……………………..  Age :…………………………….

Pseudonyme :………………………  Sexe :……………………………

 

Informations de la personne désirée

 

Niveau d’étude :…………………..   Age :…… de ……à……………..

Couleur ……………………. Sexe……………        Taille……………..

 

 

Luttons pour le progrès et l’épanouissement de la jeunesse haïtienne.

SAPIENS CLUB

VIN PRAN NOT

 

Jeunes ! SAPIENS Club vous invite à son magique jeu de correspondance baptisé : « Salon des Acteurs » et ayant comme slogan « écrire, c’est parler »

Ce jeu regroupera les jeunes de la commune de l’Anse-d’Hainault et ses sections communales. La clôture se fera lors de la remise des certificats au bénéficiaire de la Formation organisée par le club. Et le lendemain, nous prendrons tous une journée de mer.

Informations personnelles

 

Nom : ………………………………  Prénom :…………………………

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Niveau d’étude……………………..  Age :…………………………….

Pseudonyme :………………………  Sexe :……………………………

 

Informations de la personne désirée

 

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Couleur ……………………. Sexe……………        Taille……………..

 

 

Luttons pour le progrès et l’épanouissement de la jeunesse haïtienne.

 

 

 

 

 

je vais organiser en décembre un atelier de poésie a l'anse-d'hainault. La formation se fera de concert avec le Collège Saint Raymond dans la matinée. Un certificat de participation sera délivré à la fin de la séance. Plusieurs écoles et collèges sont invités: le lycée Bernard Pierre-Louis en particulier. DORCE CHARLY

Je vais disposer la semaine prochaine sur ce site des documents pouvant aider les eleves du secondaires en litterature et les sciences sociales. DORCE CHARLY

 

 

 

Titre du texte: « SIMBIE Ou la rencontre de l’incroyable beauté perdue »

Atelier d’écriture litteraire animé par :

M. Gary VICTOR, Professeur, Ecrivain. 

Préparé par : DORCE Charly

Octobre 2011

J’ai grandi à Bariadelle, une petite section communale de la ville de Dame-Marie. J’ai l’habitude, avant d’aller à l’école, de remplir tous les récipients de la maison : les bidons, le canarie, les calebasses… avec de l’eau douce que je puisais d’une source près de deux kilomètres de chez moi. Cela a été très amusant pour moi. Il était un mardi, par une rayonnante matinée de Mai, je me suis senti heureux de courir, de briser des gouffres d’herbes, sur un chemin, seul les oiseaux du ciel qui font des cris perdus. Je vois seulement non loin de moi le petit chien du voisin qui tenait dans sa gueule un avocat, incapable de venir m’embrasser sur mes talons ; quand il me voit, il arrête ses pas, et après mon passage tout près de lui, il poursuit son chemin. Bien décidé, deux calebasses en main ; je dévale à toutes jambes une rivière qu’on traverse pour aller de l’autre coté de la source, mes longs pas me jettent dans peu de minutes au bord de celle-ci. J’étais seul, il semble qu’il était tôt, mais moi, je crois être fort, sans avoir encore quinze ans. Pendant que je remplie un de mes calebasses, je regarde par derrière de mon dos, au bord de la rivière, je vois une jolie créature. Quelle est belle et exceptionnelle ! Une demoiselle environ 17 ans, avec ses longs cheveux qui couvre une grande partie de la rivière, ses yeux gris, son nez pointu, son corps de couleur café au lait mais cristallisé, ses deux mains ornaient de beaux bijoux qui changent simultanément la couleur de l’eau. Nu corps, elle assoie sur une grosse pierre au bord de la rivière. Je pense que c’est incroyable, mais vrai. Je regarde la réalité, pendant que mon esprit rêve ; un seule reflexe qui m’emporte, c’est d’uriner, je m’efforce de me faire pipi, mais hélas ! … au dernier moment, je tire une urine visqueuse, qui ne ressemble pas à ce que j’ai l’habitude de faire à l’urinoir. Je me sentais à l’extase de mes émotions, le sang qui circule dans mes artères et mes veines n’est jamais dans un état pareil ; tout à coup,

 

j’ai eu un grand vertige, qui me jette dans la source. Point de personne pour me délivrer, la femme, cette aventure ne l’intéresse guère, elle ne fait que tresser ses longs cheveux, avec un peigne et un miroir. L’heure de prendre le bain était arrivée ; maman, très inquiète, vient me chercher. Sur toute la route, au moment où le soleil danse et rayonne dans toute sa splendeur, à gorge déployée, elle m’appela : __ Charly, Charly, Chaaaaaaaaaaaarrrrrrrrrrrlyyyy ! __ Oh ! Insupportable, où est-il ? __ Mais non ! Comment il agissait ainsi  ? Disait maman. Et pourtant, elle va connaitre la terreur la plus affreuse de son existence. Elle comprend que j’étais dans la prairie de mon oncle Lhomme ; c’était la belle époque des mangues où les enfants, après avoir bu du thé amer, avant d’aller à l’école, ont parti pour remplir les creux de leurs intestins. Ce qui ne va pas dans tout cela, on ne suit pas en salle de classe quand le professeur parle. Le sirop de la mangue a laissé sur leurs paupières une masse de jus qui leur empêche d’ouvrir avec éclat les yeux. On a toujours un rêve à caresser… Pourtant, ce que Maman pense, n’était pas ma réalité. Elle me trouve larguer sur la surface de l’eau, abattu par le tournoiement, elle me croyait mort. Elle m’a pris, dit maman, me roulait sur la galette et après un moment, je me sentais en parfait équilibre. Maman et moi, remplissons les calebasses et nous sommes de retour. Sur toute la route, elle me questionne : - Mon gars, qu’est-ce qui c’était passé ? Je lui ai raconté ma rencontre avec cette figure qui attire encore mon attention. J’arrive à comprendre que c’était lui qui déclanche en moi, ma première excitation sexuelle. Je lui ai expliqué le climat de la situation et tout ce que je ressens pour elle et comment tout mon corps se remplit d’elle. Et enfin, cette fille reste encore attacher à mon esprit et je voulais encore la voir, l’admirer… Ce spectacle était si complexe, j’ai perdu cette belle journée de classe, il était neuf heures quand on mettait fin à toutes ces histoires. Le lendemain de très tôt, l’envie de partir me saisit, mais ma mère a mis de l’interdiction. Je lui obéi mais à contre cœur, toute fois, je caresse le désir de vivre encore ce moment. J’ai grandi dans la zone. Après mes études fondamentales, le fait d’être parmi un des lauréats du département, on me facilite une bourse dans un prestigieux collège de Jérémie, le chef-lieu du département. Cette situation oblige aussi mes parents à laisser le bouc pour aller louer une maison pour la continuité de mes études. Très brillant dans la salle. Je vais rencontrer pour une première fois, la belle Joulyne, à qui je commence par tisser des liens très profonds. Un jour, sur la cour de récréation, je lui ai expliqué comment j’ai un furieux tendre pour elle, je profite de ce moment si spécial de lui faire cette déclaration :   J’ai dans mon cœur une douce chanson Une chanson qui soupirait en ma rançon Un chant d’amour, une chanson suprême Le refrain, c’est de te dire je t’aime Je t’aime, c’est ce que je dois dire Ceci est mon plus grand souvenir Que veux-tu que je fasse ? Pour te voir un jour devant ma face. Elle avait pris un instant, et elle ne tardait pas à me dire que son cœur m’est déjà réservé. Après sa déclaration, je me suis resté dans un profond silence. Et elle me dit : - Parle Charly, je t’écoute ! - Tu as pris cela pour un jeu ? Je la dis : non, mais plutôt : Dans l’allégresse de ce jour sans précédent Je suis très entiché de toi, mais cependant L’euphorie de tes mots me met en transit J’aimerais que tu me fasses confiance Je dois te dire que je pouffais de joie Et ton nom me donne de l’émotion… C’est ainsi que nous avons passé six mois ensemble. Il parait que le silence qu’elle m’a réveillé le jour de notre rencontre était significatif. Privé de tout sentiment d’amour pour elle. Je l’ai abandonné. Ce que je ressens moi, c’est de retrouver le moment où j’étais au bord de la source, qui était pour moi une toute première.   Deux ans plus tard, il serait pour une seconde fois, une rencontre de seconde main, c’était le moment où le collège organise une journée de couleur ; je fais la rencontre avec la belle Germinou. Comme son nom la présente, nous avons échangé des coordonnés et des informations intimes. Elle accepte de faire table avec moi. Elle va chez lui et le rendez-vous est cassé pour cet après midi. Dans l’après-midi, ce serait le tour d’un troubadour qui va clôturer la soirée. C’était lui qui nous fait vivre et auditionner de bonne chanson. Tout à coup, pendant que nous buvions tous ensemble, elle est tourmentée par ma froideur. Elle me demande ; - Charle, Qu’as-tu ? Tu as un problème ? Juste pour la consoler, je lui dis : A la croisée de cette situation perplexe Je m’engage à t’inspirer un reflexe Tout à commencer quand nos regard se sont croisés Tu as renversé mon cœur tu l’as fais charité Tout devient beau et merveilleux Quand je vais me noyer au large de tes yeux Des sentiments encore ignorés se sont créés Il ne faut jamais les rejeter ni les briser C’est le moment où un morceau très sentimental commence à fredonner. Elle tient vite ma main. C’est aussi le moment de la musique qui demande une sérénité dans les gestes, elle me demande de lui serrer dans le foret de mes bras. - Charly, je sens un frisson sur ma peau, viens me réchauffer, dit-elle ? Pendant que sa main romancière ne cesse pas à me mettre en transit. Le programme est terminé, et nous nous regagnons nos maisons. Nous restons ensemble pendant un bon moment, plus de dix moi. Devant tout cela, nous ne serons pas tardés à briser cette relation, à cause qu’elle sentait en moi un vide, en dépit de tout, son amour ne peut pas combler. Je traverse une période, où je cesse d’être entretenu des relations amoureuses. Mais, cela me reste une aventure de faire la rencontre avec la femme que j’avais vue au bord de l’eau… Trois ans plus tard, j’ai bouclé avec mes études secondaires. Il était un moment de vacance, après la proclamation des résultats du bac deux, un groupe de condisciple et quelques autres amis, nous partons dans un pique-nique dans une zone non loin de la ville. Dans le quartier, pendant que je me promène seul en vue d’explorer le paysage, de voir et d’acheter des fruits et des produits qui nous sont très chers dans la ville : des figues mures, des pommes, des tablettes pistaches à vil prix… A quelques mètres de ma vue, j’ai vu une beauté, son visage me rappelle la femme dont je rêve. Elle est sans doute pénétré au fond de mon cœur où elle met toute mon âme en éveil. Ses pas, ses marches, au mouvance de sa fesse palpitent au cœur de mon cœur. Elle est tout d’abord explorable et admirable, avant d’attirer par ses charmes, un brun de soleil à son levée, fait voir toutes ses multiples couleurs : peau de chèvre, couleur de miel, brune… Je me suis rapproché près d’elle. Dans ses yeux se cache un regard malicieux ; je me présente, c’est comme si elle était impressionnée par mes regard. Avec une voix audible et éclatante, après avoir fini de lui faire ressenti mes sentiments d’amour, elle me prouve aussi son amour en m’embrassant sur le front. Tout au long de la conversation, je lui propose une chose dont mon cœur attend avec impatience, afin de combler le vide du souvenir de ce beau jour passé lorsque j’étais au bord de la source. - Parle, je t’écoute. Dit-elle. - Mon plus grand plaisir c’est de voir un jour toi et moi dans une rivière, où nous déversons dans l’eau l’amour le plus pur. Elle riait : ooooooooh ! Pourquoi pas maintenant ? J’ai du abandonner la compagnie pour aller crever la barrière de mon bonheur…

Nous sommes dans la rivière, nous nous caressons les deux. J’ai en ce moment devenu étranger dans ma peau et dans mon sang. Elle me fait vivre un moment à nul autre pareil. Pendant que nous sommes en pleine conversation, elle me dit : - Je voulais t’amener quelques parts… - Fermez vos yeux ? Je lui dis : « Mais tu rêves ?... Et tu te plaisantes là ? Parle-moi du vrai. Elle reste pendant longtemps triste et muette. Son dernier mot, c’est en me disant : - Je vais te laisser… Elle n’a pas fini de parler pendant qu’elle plonge et dans quelques secondes, je ne vois que la queue d’un gros poisson qui bouscule mes pieds dans l’eau et la chute me jette dans cette page afin de connaitre ce grand événement qui arrive un homme comme moi dans un monde de fantasme.

Je suis DORCE Charly. Je vais publier mon livret de Techniques de dissertation a l'intention des eleves du secondaire.